HIKARI NO KIZU célèbre la résilience des corps meurtris. Née de l’évidence que la photographie possède le pouvoir de guérir à travers un nouveau regard sur soi, cette série propose un chemin vers l’acceptation de son histoire personnelle. 

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Inspirée de l’art ancestral japonais du kintsugi qui répare avec de l’or, Hikari no kizu plonge au cœur des corps, au plus près des cicatrices et des blessures, pour apaiser, sublimer, réconcilier les stigmates d’un cancer, un accident, une maladie, une opération, une malformation… 

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Sous le format de portraits humanistes en studio, le sujet est baigné d’une lumière enveloppante créant un espace cathartique où il peut s’extirper des normes et des diktats pour faire rayonner sa lumière intérieure. Dans cet environnement, la cicatrice n’est plus une chose disgracieuse qu’il faut cacher. Elle devient le symbole rayonnant d’un vécu, une trace dorée de l'indissociable passé, qui contribue à faire l’unicité de celui qui la porte.